En cette période électorale, nous sommes amenés à nous pencher sur le choix d'un candidat. Nous pouvons être pour, ou contre, ou encore « pontre » et voter blanc. Nous pouvons même, à la rigueur, ne pas nous sentir concernés et ne pas aller voter !
Mais il est un choix que vous devez faire et qui impacte toute votre vie, et même toute votre mort ! Et là, pas moyen de se défiler, ni même d'avoir un avis neutre : « Celui qui n'est pas avec moi est contre moi, et celui qui n'assemble pas avec moi disperse. » (Matthieu 12.30 et Luc 11.23)
L'apôtre Jacques ajoute : « Adultères que vous êtes ! Ne savez-vous pas que l'amour du monde est inimitié contre Dieu ? Celui donc qui veut être ami du monde se rend ennemi de Dieu. Croyez-vous que l'Écriture parle en vain ? C'est avec jalousie que Dieu chérit l'esprit qu'il a fait habiter en nous. » (Jacques 4 : 4-5).
Ne pas choisir en voulant faire un compromis reviendrait à avoir 2 Dieux, et notre Dieu est un Dieu qui ne partage pas, un Dieu jaloux : « Car l'Éternel, ton Dieu, est un Dieu jaloux au milieu de toi. La colère de l'Éternel, ton Dieu, s'enflammerait contre toi, et il t'exterminerait de dessus la terre. » (Deutéronome 6.15)
Il n'est pas possible de ne pas avoir un avis, et aucune demi-mesure n'est envisageable pour Dieu. Nous ne pouvons pas avoir accepté Jésus comme Sauveur et rester Seigneur de notre vie. Quand une chenille devient papillon, elle n'a plus à se prendre pour une chenille à ramper encore dans la poussière ! Alors de deux choses l'une : soit on « vote » pour Dieu et on porte du fruit (et ça se voit !), soit on vote pour le monde et on pêche à nouveau. Soit on grandit avec Dieu, soit on régresse (aucune stagnation n'est possible). Alors, pour qui allez-vous voter aujourd'hui ? Pour Dieu ou pour l'adversaire de nos âmes ?
Noémie O.